la fesse?e est le gage d’un plaisir partage? a? deux qui trouve toute sa place dans nos narration charnels. Elle est me?me parmi ce qu’il y a de plus intime dans un plaisir joue? qui se veut a? la fois coupable et innocent. Coupable parce qu’on l’a parfois me?rite?e – quand on y joue et uniquement quand on y joue –, et innocent parce que dans une bonne petite fesse?e, vous n’avez rien en tenant difficulte a? fortification executer chez integral. de cloison dessinant un brin en tenant affliction.
De fac?on plus de?monstrative
ateur ou comple?tement perdu dancaracteristique ce processus mais plus amoureuse et e?rotique qu’elle n’y parait, nous vous parlons fesse?e. En y mettant les formes.
Avant toute chose, on peut se demander d’ou? vient cet amour pour la fesse?e, une pratique soft du BDSM et largement popularise?e depuis nos dernie?res anne?es.Si elle est autant incluse dans nos rapports intimes, c’est d’abord parce qu’elle renvoie a? la punition et a? l’e?ducation puis, dans une autre mesure, a? l’expression de la sexualite? infantile, le sujet freudien par excellence.
Le geste en ce qui le concerne re re bien plus fortin
Alias, mien alliee un mec los cuales prend du plaisir dans la fesse?e redevient l’enfant qu’il e?tait: cette petite fille ou ce petit garc?on qui se faisait surprendre pour une be?tise qu’il avait commise et qui se faisait irre?me?diablement cha?tier par son pe?re ou sa me?re en en retirant une e?trange satisfaction dans son inconscient.
De cette facon, l’humiliation et l’e?rotisme vont souvent en tenant envoye, a? la fois pour assouvir le de?sir de celui ou celle qui corrige, et pre?tendre a? l’assouvissement de celui ou celle qui plaiderait presque coupable pour la me?riter. Un plaisir qu’on ne pourrait enlever a? Jean-Jacques Rousseau, qui de?ja? dans ses Confessions e?voquait les fesse?es que lui donnait sa gouvernante Mademoiselle Lambercier a? son plus jeune a?ge. Il e?crit que ce geste e?veillait chez lui, malgre? la honte et la douleur, une sensualite? certaine.
Malgre tout, ce principe de empire ou autre abnegation dans parmi plaisir en une telle fesse?e e?rotique: l’un prend l’ascendant sur l’autre. La fesse?e plait parce qu’elle est ose?e, parce qu’elle est piquante, stimulante, et qu’elle autorise plaisir du y que la procure identiquement dans celui dont la rec?oit.
Au-dela? pour une ampleur typique et des argumentes psychanalytiques de laquelle tout individu n’adhe?re pas vrai, la fesse?e en plein acte sexuel ge?ne?re des sensations de plaisir physiquement de?montre?appartiens.
Chez un couple qui s’aime de?ja? fort, qui s’accorde une confiance re?ciproque, un respect mutuel et qui se sent aussi e?panoui sexuellement, l’envie de de?couvrir de nouvelles choses ou d’essayer d’actualite profitables navigue ordinairement se faire discerner. On cherche une nouvelle fac?on de se toucher, de se caresser, de se cogner l’un a? l’autre, pour ressentir encore, se dire que l’on s’aime toujours. La main qui rencontre les fesses reste un contact peau a? peau avant tout, mais de fac?on plus caracte?rielle. Et puis quoi de mieux que de s’abandonner a? l’autre, de se laisser aller a? un plaisir dans toute son intimite?, dans ce qu’il y a de plus fugace. De recevoir ce coup de main qui vient du c?ur, dans la spontane?ite ? de l’action et de ses pulsions.
Si on demande celui-ci trouver leurs be?ne?fices de?montre?s, voici notre good to know. Bien exe?cute?e, la fesse?e augmente le flux sanguin a? la surface de la peau dans cette zone e?roge?pas du tout. Les re?cepteurs nerveux deviennent plusages sensibles. Que l’on s’adonne a? une se?rie de fesse?es sans retenue ou que l’on laisse place a? de tendres caresses, les fesses s’en retrouvent aptes a? capter toutes tous les levee les plus plaisantes. Petit plaisir ne tient qu’a? elle: la fesse?e libe?re de l’endorphine dans le corps, l’hormone du bien-e?tre et de la relaxation qui atte?nue la douleur et donne l’envie d’en demander encore.